09 novembre 2011

Le 9 novembre 1970 le général De Gaulle mourrait à Colombey les Deux Eglises

9 novembre 1970 le général de Gaulle meurt à Colombey les Deux Eglises



Le 9 novembre 1970, comme à l'accoutumée, le Général entame une partie de patience. À 19 h 10, il est pris d'un malaise causé par une rupture d'anévrisme et meurt vingt minutes plus tard. 

La nouvelle n'est communiquée que le lendemain par une brève allocution télévisée du président Georges Pompidou. La mort de De Gaulle qui, selon l'expression de son successeur, laisse « la France veuve », est l'occasion de prendre la mesure du rôle qu'il a joué dans l'histoire de France, ainsi que dans l'histoire de l'Europe et du monde.

Ainsi, le lendemain du décès du général, le roi Baudouin de Belgique vint personnellement, en compagnie de la reine et à titre privé, présenter ses condoléances à madame de Gaulle et à la famille. 






C'est que le roi tenait à manifester sa sympathie pour un homme qui, dans ses mémoires de guerre, s'abstint de condamner le roi Léopold III de Belgique lors de la reddition de l'armée belge, en 1940. Le roi des Belges agissait aussi au nom des liens tissés, pendant la guerre, avec les Français libres du général de Gaulle, lorsque le gouvernement belge d'Hubert Pierlot et Paul Henri Spaak en exil à Londres fut le premier des gouvernements alliés à reconnaître la légitimité du Gaullisme, malgré les pressions anglaises





Les obsèques du général ont lieu le 12 novembre 1970 à Colombey-les-Deux-Églises en présence d'une foule nombreuse et d'une délégation des armées françaises, seule participation officielle autorisée par le Général dans son testament. À Paris, de nombreux chefs d'États étrangers sont rassemblés pour honorer sa mémoire à Notre-Dame, tandis que plusieurs centaines de milliers de Parisiens remontent l'avenue des Champs-Élysées.


Son testament81 qu’il avait rédigé en 1952 en trois exemplaires numérotés, reste une dernière gifle d’outre-tombe aux conventions : 

« Je veux être enterré à Colombey ».



« À mes obsèques, ni présidents, ni ministres, ni n’importe quels autres représentants de quelconque assemblée » (le ministre des Finances, Valéry Giscard d'Estaing, s’y rend tout de même en argumentant que ce n'est pas en ministre qu’il vient, mais en simple Français. Tous les autres officiels, le président Nixon compris, assistent au même moment à une simple messe en l'honneur du général à Notre-Dame de Paris). 




« Seules les armées françaises, mais par une participation très modeste... et les Compagnons de la Libération sont autorisées à assister. » (ce qui incluait Jacques Chaban-Delmas et André Malraux).





« Sur ma tombe : Charles de Gaulle, 1890-... Rien d’autre » 
« Je déclare refuser d'avance toute distinction, promotion, dignité, citation, décoration, qu'elle soit française ou étrangère. Si l'une quelconque m'était décernée, ce serait en violation de mes dernières volontés. »














08 novembre 2011

La Patrouilleur LE MALIN à La Réunion

La Patrouilleur LE MALIN de retour 
à La Réunion


Sept ans après avoir été saisi dans les eaux françaises du grand Sud et ramené à la Réunion, le Malin est revenu mardi dernier au port ouest, cette fois sous les couleurs militaires. Sous le nom d’Apache, ce palangrier avait en effet été arraisonné dans la zone économique exclusive des Taaf en juin 2004, alors qu’il pêchait la légine. 

Carte Postale Terres australes et antarctiques françaises Légine Australe


Depuis, de jugement en appel puis en cassation, l’État a obtenu sa confiscation définitive et sa reconversion dans la flotte nationale.

Bâtiment de soutien de commandos Le Malin
Photo Marine nationale



Parti le 15 septembre de Toulon, le patrouilleur Le Malin est arrivé le 25 octobre à La Réunion. Il a rejoint Port-les-Galets, sa nouvelle base, où il remplace La Rieuse, cédée cet été au Kenya. Long de 54 mètres pour un déplacement d'environ 1000 tonnes, Le Malin est un ancien palangrier hondurien saisi par les autorités françaises après avoir été surpris en flagrant délit de pêche illicite au large des Kerguelen, en 2004. 

Devenu propriété de la Marine nationale en 2005, il a subi cette année une profonde afin d'être transformé en patrouilleur de service public. Le chantier a, notamment, porté sur un re-compartimentage de la coque et l'ajout de deux mitrailleuses de 12.7mm. 



http://www.defense.gouv.fr/marine/decouverte/equipements-moyens-materiel-militaire/batiments-de-soutien/batiments-specialises/divers/le-malin-a-616
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117608




http://www.netmarine.net/bat/patrouil/malin/histoire.htm

http://sextan.com/article.php3?id_article=814

07 novembre 2011

Poste aux Armées Hongay 1946 Indochine poste aux armée Viêt Minh Hongay Dorgelès la route mandarine

Sur la Route Mandarine 
Roland D'Orgelès


Timbre Bao Daî surchargé 

La découverte de quelques plis de la Poste aux armées de l'année 1946 m'ont amené à questionner Gabriel Frick sur les numéros des BPM en Indochine. 
La réponse fut rapide et précise. Merci à lui.
voir les publications de Gabriel disponible sur le site de l'amicale philatélique et marcophile colmarienne
  http://www.phila-colmar.org/La-litterature.html


En 1945, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le conflit avec l'Empire du Japon aboutit à la désorganisation complète de l'administration coloniale française en Indochine. 

Les Japonais proclamèrent l'indépendance du Viêt Nam le 10 mars 1945, en maintenant l'autorité de l’empereur Bao Dai et en maintenant Pham Quynh à la tête du gouvernement, puis en le remplaçant quelques jours plus tard par Tran Trong Kim.

Timbre sur papier de riz 
représentant Ho-Chi-Minh
Le Việt Minh, mouvement nationaliste fondé par le Parti communiste indochinois, en profite pour prendre le contrôle d'une grande partie du territoire vietnamien : Hồ Chí Minh, son chef, proclame le 2 septembre 1945 l'indépendance de la République démocratique du Viêt Nam. 


Les timbres émis par le Viet-Nam du Nord (République indépendante du Viet-Nam), entité politique créée le 2 septembre 1945 à Hanoï, dont Ho Chi Minh a été le premier président


Des timbres français (Pétain, entre autres) ont été surchargés Dan-chu Cong-Hoa (République démocratique) Buu-chinh (Service postal)

Timbre Pétain surchargé 
La reconquête française commença vers la fin de l'été 1945, qui fut marqué par une terrible famine. Traditionnellement, le riz du Sud venait faire la soudure entre deux récoltes au Nord. Les destructions et le pillage des Japonais d'une part, et la pénurie des moyens de transport d'autre part, n'ont pas permis de faire venir le riz en provenance du Sud en quantité suffisante.

Octobre 1945 : Leclerc et D'Argenlieu sont à Saïgon.

Quatre mois plus tard l'autorité française est rétablie au Cambodge, au Laos et dans la partie du Viêt Nam appelée Cochinchine du temps de l'ancien Empire colonial français. 

Pour établir les bases de la Fédération indochinoise voulue par la France, il reste principalement ce que les Français appelaient l'« Annam » et surtout le « Tonkin », où Hô Chi Minh a proclamé à Hanoï le 2 septembre la République démocratique du Viêt Nam. L'amiral Thierry d'Argenlieu a pesé lui-même chaque mot de la convention signée le 6 mars 1946, à sa demande, par Jean Sainteny avec Hô Chi Minh, en plein accord avec le général Leclerc (accords Hô-Sainteny).


C'est donc en position de force que les indépendantistes vietnamiens accueillent le commissaire du GPRF. Hô Chi Minh est bien conscient que l'armée française est plus moderne et aguerrie que ses troupes en cours de formation et il redoute la mainmise des Chinois sur le Nord-Vietnam.

BPM 403 B Hongay  3-8-46
 Il cède donc sur plusieurs points. Il accepte que le corps expéditionnaire de Leclerc occupe le Nord du pays et que de nouvelles élections soient organisées à condition que l'autonomie du Vietnam soit reconnue par le GPRF (« la France reconnaît la République du Viêt Nam comme un État libre ayant son gouvernement, son Parlement, son armée et ses finances ». Les accords sont signés entre les différents protagonistes le 6 mars 1946 et Hô Chi Minh est invité en France pour poursuivre les négociations. Déjà, certaines voix dénoncent ces accords, comme Thierry d'Argenlieu, et parlent de « Munich indochinois ». Le 18 mars 1946, Hô Chi Minh accueille les troupes de Leclerc qui entrent dans Hanoï. Pas un coup de feu n'est tiré. La paix semble sauve.

Les troupes françaises débarquèrent au port de Haïphong et entrèrent dans Hanoï sous la conduite du général Leclerc sans tirer un seul coup de feu, grâce aux négociations avec Hô Chi Minh qui avait été préconisées par Leclerc, qui alla jusqu’à recommander à la France d'utiliser le mot "indépendance" (Doc Lap).

Complément d'affranchissement du courrier du 3-8-46


Après le bombardement du port de Haiphong le 23 novembre 1946 par la Marine française, qui marque un revirement total de la politique menée jusqu'alors par le gouvernement français vis-à-vis de la République démocratique du Viêt Nam, il apparaît clairement qu'Hô Chi Minh ne jouera plus l'option de la Fédération indochinoise. 

Le 19 décembre 1946, l'insurrection de Hanoï marque le début de la guerre : le gouvernement de la République démocratique du Viêt Nam déclenche des hostilités dans tout le nord du Viêt Nam, et entre dans la clandestinité.


Ces courriers étaient donc adressés de HONGAY port de la baie d'Along au Tonkin.


Le BPM 403 B a été ouvert à Hongay entre 1er juillet et le 15 août 1946




"Elles sont, je crois, uniques au monde, ces mines de Hongay, où l’on extrait le charbon à ciel ouvert. Campha, Haut, Monplanet, grands pans d’amphithéâtres taillées dans le mamelons."
Le BPM 406A a fonctionné à Hongay du 15-08-1946 au 16-11-1949
"Ce sont de gigantesques escaliers noirs qui escaladent le ciel et leurs parois sont si lisses, si droites, qu’on croirait que le charbon fut découpé en tranche, ainsi qu’un monstrueux gâteau. Rien n’est à l’échelle humaine. Tout est trop haut, trop vaste, et les indigènes qui piochent sur les pentes ne font qu’une poussière humaine, sur ces gradins de jais."




A qui appartiennent toutes ces terres ? Au Charbonnages du Tonkin. La société possède tout : les champs, les bois, les maisons, les routes, et jusqu’au entrailles de la terre. Ce chemin de fer, c’est à elle ; ce port, ces jetées, ces passes balisés, c’est à elle. Cette église au clocher pointu, ce grand marché couvert, c’est à elle.

Car c’est cela le moins facile, trouver des coolies, des milliers de coolies, et les retenir à Hongay, les empêcher de s’enfuir. On a tout essayé : rien n’y fait. Dès que le tonkinois a quelques piastres dans sa bourse , il quitte l’ouvrage et retourne à se rizière. A l’époque du têt, aux approches de la moisson, tous veulent revoir leur village, et c’est alors par milliers qu’ils s’échappent. Tous les surveillants massés n’y peuvent rien : en quelques jours, tous les découverts sont déserts.




Quand je visitai Hongay, les carrières noires grouillaient d’ouvriers. Etres vêtus de loques. Piocheurs aux bras maigres. Des femmes aussi, dont la bouche rougie de bétel semble saigner. Derrière les wagonnets, des " nhos " de 10 ans s’arc-boutent, petits corps secs, visages épuisés sous le masque du charbon.Que faire ? On cherche d’autres stratagèmes. On multiplie les ruses.

Ainsi on ne leur paye leur salaire que la deuxième quinzaine du mois suivant, si bien que , courant toujours après leur dû, ils sont obliger de rester. Cependant, pour qu’ils ne meurent pas de faim et par pure philanthropie, on leur verse, s’ils ont bien travaillé, une piastre tous les 10 jours : c’est ce qu’on appelle ici " faire une avance ".




C’est également pour les retenir qu’on leur a donné ce grand marché couvert, ce cinéma.. Que ne leur a t-on construit un hôpital ! Un administrateur de la société a trouvé mieux : la religion. Des missionnaires installés à la mine retiendront au moins les catholiques, a t-il pensé. On en a donc fait venir un, un père Annamite, des Missions espagnoles. On lui a construit cette petite église et la paroisse à peine né, groupe déjà 700 coolies. ...

La société est riche, très riche : 29 millions de bénéfices nets l’an dernier, c’est à dire plus que son capital. Près de 20 millions de réserve avoue, des actions gratuites distribué aux actionnaires, le titre de 250 francs coté maintenant de 7 à 10 mille. Oui formidablement riche : les 74000 actions qui représentaient à l’émission 16 millions valent plus d’un demi milliard !


Et savez vous combien ce royaume du charbon rapporte à l’Indochine, à la France ? Rien... Je dis rien, car je ne vais pas compter les quelques francs de taxe superficielle, les quelques sous de taxe minière. Il en est des Charbonnages comme de la plupart des riches entreprises de la bas : de puissants inconnus se partagent les bénéfices, sucent la moelle de ce pays, et la colonie n’a rien et la France n’a rien, elle qui a payé cette terre de tant de sang. Hongay donne au moins à l’Indochine tout son charbon ?


Pas même. Presque tout est pour le Japon, qui paye bien. Et Saigon réclame en vain, nos usines doivent passer par Cardiff, et les chemins de fer chauffent au bois, dévastant les forêts. Ni argent ni charbon : Hongay ne nous rapporte que la haine des milliers de coolies..."

Sur la Route Mandarine
Roland Dorgeles - 1925

sources


http://www.ac-reims.fr/datice/hist-geo/dossier/site_indochine/documents.html


http://saigon.vietnam.free.fr/indochine_1.php


http://www.ecpad.fr/commandos-marine-dans-la-baie-dalong

04 novembre 2011

Humour dans le carré par Donec

Humour dans le carré par Donec



Bonjour à tous,
Avec l’automne le cambusard de la nouvelle récolte est livré sur les bâtiments. L’œnologue du poste 5 (manœuvriers) donne un avis très précis sur le nectar concerné.


A par cela la formation des plongeuses-démineuses (ou nageuses de combat) bat son plein…


A la semaine prochaine
Donec

03 novembre 2011

Aviso PM L'HER

L'aviso patrouilleur PM L'HER 
en ZMOI 2011





L’aviso Premier maître l’Her et ses 85 membres d’équipage ont quitté Brest le 1er octobre pour un déploiement en Océan Indien. Au cours de cette mission, le bâtiment effectuera des patrouilles au profit de la lutte contre le terrorisme, les trafics illicites et la piraterie. Ces patrouilles auront lieu en grande partie dans le Golfe d’Aden.



Ravitaillement à la mer avec le  USNS Joshua Humphreys remis en service à l'été  2010


USNS Joshua Humphreys (T-AO-188)

Pétrolier Ravitailleur de la classe Henry J. Kaiser Class. C'est le deuxième de la série.


Le bâtiment a été mis en réserve plusieurs fois et remis en service en fonction des besoins en période de crise.

Mis en service via MSC qui comporte des équipages mixtes US Navy et civils



http://www.msc.navy.mil/



Les bâtiments de la Marine Nationale effectuent régulièrement des missions qui nécessitent d’agrandir leur rayon d’action normal ou de rester à la mer afin d’augmenter leur temps sur zone sans faire escale. Les grands bâtiments ont ainsi la capacité de ravitailler en vivres, eau ou gazole. Notre bâtiment a effectué un RAM (ravitaillement à la mer) le 16 octobre avec un pétrolier américain. Manœuvriers, artilleurs et mécaniciens étaient sur le pont tandis que la passerelle soignait sa présentation et sa tenue de poste. La mobilisation de tout l’équipage a ainsi permis le succès de cette opération menée avec professionnalisme et bonne humeur.

Le Joshua Humphreys est affecté à la 5ème flotte US depuis l'été 2010. Il dessert les bâtiments alliés à l'Ouest de l'océan Indien notamment les bateaux en patrouille le long des côtes de Somalie.




http://en.wikipedia.org/wiki/USNS_Joshua_Humphreys_(T-AO-188)





sources Marine nationale

http://jdb.marine.defense.gouv.fr/post/2011/10/21/Pour-durer-il-faut-ravitailler%E2%80%A6.#attachments

MSC Navsource

http://www.navsource.org/archives/09/19/19idx.htm

http://www.msc.navy.mil/PM1/

http://www.navsource.org/archives/09/19/19188.htm


02 novembre 2011

La conquête du Dahomey les canonnières de l'Ouémé 1892 1889 1894

Corps expéditionnaire du Dahomey Canonnière Opale

Lettre de l'Opale Correspce Militaires 23 avril 1894


En 1892, c'est au Dahomey, actuel Bénin, que la situation devient la plus tendue.L'intérêt porté par la France à la côte du golfe de Guinée et à la ville de Cotonou ne pouvait qu'irriter le souverain du Dahomey. En effet, depuis les années 1820 celui-ci avait fait du royaume de Porto-Novo un Etat vassal, disposant ainsi de débouchés côtiers vitaux pour l'exportation de l'huile de palme sur laquelle repose l'économie dahoméenne.

Les Français cherchent à protéger leurs objectifs principaux en Afrique occidentale en essayant simultanément d'empêcher toute avance allemande vers Tombouctou à partir du Togo voisin mais aussi de couper la voie du lac Tchad aux Anglais installés à Lagos.



En 1889, devant le refus du Dahomey de remettre Cotonou à la France, les troupes françaises s'emparent de toute la région côtière. Le roi Béhanzin lance alors une attaque sur Cotonou mais ses 7 000 hommes sont défaits par les tirailleurs sénégalais commandés par le colonel Terrillon. En octobre 1890, le gouvernement français accepte de signer un traité pour des raisons de politique intérieure. Le parti colonial attend cependant la moindre occasion pour engager une offensive contre le Dahomey.

Canonnière Opale TAD Etablissement du Bénin Ligne M   n°2 23 avril 94


C'est chose faite le 27 mars 1892, quand la canonnière Topaze, aventurée en territoire dahoméen, essuie quelques tirs. L'opinion publique française est d'accord pour en finir définitivement avec le Dahomey qui pratique encore le cannibalisme, les sacrifices rituels, la polygamie et rançonne les Etats voisins.








La Flottille du Bénin est sous les ordres du  LV de Faisigny (canonnières Opale, Topaze, Corail et Émeraude) et les forces navales sous les ordres du CV Reynier. 

Elles comprennent le Sané, le Talisman, le Héron, l'Ardent, la Mésange. Les transports sont assurés par le vapeur affrété Saint-Nicolas et le Mytho.







Le combat du 28 septembre 1892 sur l'Ouémé opposa les canonnières Corail et Opale à l'armée dahoméenne sur les berges du fleuve. Le LV de Faisigny et l'EV Latourette commandant de l'Opale reçurent les félicitations du Colonel Dodds.

PHM Commandant Blaison TANGER MED25 Maroc EUNAVFORMED IRINI

TANGER MED25 PHM Cdt Blaison  Le 23 avril 2025, le patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Blaison a appareillé de Brest dans le cadre de...