18 août 2009

Concarneau Les filets bleus

Au courrier aujourd'hui

CC 2009





reine des filets bleus 2008


http://filetsbleus.free.fr/


A Concarneau : la Fête des Filets Bleus

Des coiffes de Concarneau, de Plougastel, de Pont-Aven, des corsages brodés de Pont-l’abbé, des robes à gros plis et des tabliers de soie, les sardinières ont fait un concours, sous les arbres devant la mer, et elles ont choisi une reine.

Pour la première fois, dans cette année qui ne fut pas heureuse, les sardinières de Concarneau ont donné une fête et choisi une reine. Les peintres, qui prennent leurs quartiers dans ces pays, avaient donné des esquisses et des tableaux dont on avait fait une tombola au profit de ces pauvres gens.

Enfin, un concours de costumes avait fait sortir des coffres d’antiques splendeurs qui, dans des jours meilleurs, avaient paré la joie des aïeules et les matins de noces.

C’est par un vrai dimanche de septembre breton, un dimanche doux et gris, qu’a eu lieu à Concarneau la fête poétiquement appelée les « Filets Bleus ». On avait élevé sur la place d’Armes une estrade ornée de branches de chêne et de filets, vraie parure de la Bretagne qu’enveloppe la mer. Les bombardes et les binious annoncèrent l’arrivée du jury que présidait M. de Billette de Villeroche, maire de Concarneau. Et le concours des costumes de sardiniers et de sardinières commence : costumes anciens, costumes modernes. Les voilà sur l’estrade, toutes éclatantes de vêtements variés et bizarres, brillantes et naïves de jeunesse, les yeux clairs et les dents blanches.



Anne-Marie Pauline Le Baccon ayant été proclamée, on la vit descendre, parée d’un costume vieux de deux siècles, dans un barque d’honneur fleurie de bruyères roses, au milieu des coups de fusil, tandis que tout le rivage chantait en son honneur une très vielle chanson, inventée pour d’autres qui sont mortes depuis longtemps. On célébra son avènement par des danses, sous les arcades sonores du marché couvert. Par deux et par quatre, les gars et les filles frappaient du talon. On reconnaissait le pâtre et le marin, la fermière et la batelière ; les sardiniers à leurs blouses brunes et à leurs bérets bruns, les gabiers à leurs manches galonnées, les laitières à leurs allures plus sveltes, les hommes de Daoulas à leurs bonnets de laine pourpres, les riverains de l’Odet à leurs feutres poilus, les vieux mathurins à leurs faces tannées et salées. Et au loin, dans le crépuscule, à travers la pluie fine, on entendait tinter et descendre au rivage, la voix mélancolique de l’Angélus du soir.

Ce jour là, les prix pour les costumes anciens ont été donnés à :

Mlle Postic d’Elliant, à Mlle Le Corre de Quimper, à Mlle Capitaine de Melgven,
à Mlle Gestin d’Elliant et à Mlle Ranou de Plougastel . . .




Tall ships race Etoile Belle-Poule


Au courrier aujourd'hui

Arrivée à Belfast

ça y est, nos goélettes ont traversé l'Atlantique... et retourne au pays.


L’Etoile est à quai à Bally Castle depuis hier , nous sommes tous (sauf l’équipe de service évidemment ) avec l’équipage de « Jolie Brise » allés au restaurant hier soir (la qualité de la nourriture y était excellente…).

http://etoileetbellepoule.ecole-navale.fr/?p=1494


http://en.wikipedia.org/wiki/Ballycastle,_County_Antrim



l’aspirant JP Serre l’a écrit nous avons franchi la ligne d’arrivée en seconde position à 15 minutes derrière l’incontournable « jolie Brise » (le seul voilier à avoir gagné trois fois la course du Fasnet), qui bravement malgré son bout dehors fendu, son mal flèche cassé en deux et sa lisse arrachée a réussi à nous contenir, alors que nous nous avions toute la toile et que nous avons franchi la ligne d’arrivée à plus de 10 nd…





Alors toujours, on se pose la question de savoir où nous avons perdu ces 15 minutes… durant ces 17 jours de navigations… Il y a plusieurs réponses, mais bon… le plus important c’est d’arriver à quai avec un équipage au complet en bonne santé et une étoile toujours aussi belle…. Dans tous les cas, nous avons établi un temps de référence pour traverser l’Atlantique à bord des goélettes de l’Ecole navale, les prochaines générations devront faire mieux que 17 jours, 23 heures 55minutes et 50 secondes. Je suis absolument certain qu’elles pourront l’améliorer facilement, effectivement nous avons durant plus de quatre jours été « sous-toilé » en attendant que le coup de vent passe.



En arrivant au mouillage à Bally Castle nous avons tous déjeuné sur le pont. J’en ai profité pour effectuer une cérémonie pour couper les sabords des jeunes officiers qui étaient passés soit Aspirant, soit Enseigne de Vaisseau durant la traversée. Comme le veut la tradition, le plus vieux quartier maître chef du bord leur avait préparé un petit cocktail surprise dont il garde précieusement la recette…


est-ce le modèle pour la figure de proue?

L’accueil ici à « Bally Castle » est parfait, tous se mettent en quatre pour bien nous accueillir. Demain après une réception à bord puis à la mairie et une fois la Belle poule arrivée à couple nous irons tous ensemble visiter « la chaussée des géants ». Nous appareillerons le 11 en matinée , pour Belfast où de très nombreuses activités nous y attendent.
A bientôt,

LV Patrice L’Hour

Commandant la goélette Etoile





Jeanne d'Arc GEAOM 2005 2006


GEAOM PH Jeanne d'Arc 
Dakar Sénégal 2006



Ancienne capitale de l'Afrique occidentale française (AOF), Dakar est aujourd'hui celle de la République du Sénégal et de la région de Dakar. Sa situation à l'extrémité occidentale de l'Afrique, sur l'étroite presqu'île du Cap-Vert, a favorisé l'installation des premiers colons, puis le commerce avec le Nouveau Monde, et lui confère une position privilégiée à l'intersection des cultures africaines et européennes. Organisatrice du premier Festival mondial des Arts nègres voulu par le président Léopold Sédar Senghor, la ville est le siège de l'Institut fondamental d'Afrique noire et de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest.

Cachet Dakar Unité Marine Bureau de la Poste Sénégalaise


pli de Dakar ayant transité par Paris Tri Interarmées

La nouvelle cité ne se développe pas sans mal. En 1869 une épidémie de choléra fait des ravages et Pinet-Laprade y succombe lui-même le 17 août. En 1872 le des 'statut communal' est accordé à la population, ce qui donne une citoyenneté.



Alors que Dakar devient centre d’arrondissement à la place de Gorée en 1875, des résistances subsistent, comme en témoignent ces observations du colonel Canard : « Les propriétaires de terrains où l’on pourrait bâtir habitent tous à Gorée et ne paraissent pas disposés à faire construire des maisons à Dakar » (1876) ; « Dakar est toujours très calme, il est même triste. Peu de maisons, peu d’habitants, peu de commerces et pas d’industrie » (1878) .



Bonjour réponse : iSalaMaleïcoum  / Maleïcoum Salam
As-tu la paix Djam Ngam
J'ai la paix seulement  Djam Rek 
Comment vas-tu * s'il y a plusieurs personnes Naga Def * Nan guen Def
 je vais bien seulement Mangui Fi rek 
Grâce à Dieu AL Hamdoulilahi
Comment vont ceux de ta maison   
Naka Sa Wakeur   
Il ou elle va bien Mougui Fi  
Comment va ta mère Naka sa Yaye 
Comment va ton père Naka sa Papa


La raison de cette présence faible des notables goréens à Dakar est que la ville de Rufisque sur la petite côte connaissait un développement économique important grâce à l'arachide; ces familles bourgeoises mulâtres et nègres préféraient donc s'installer majoritairement dans cette ville.






Ce n'est que lorsque la ville de Dakar eut un quai moderne et que le Warf de Rufisque devint obsolète qu'ils s'installèrent massivement à Dakar. Un nouveau plan cadastral est élaboré en 1876 et deux ans plus tard Dakar compte environ 1 600 habitants. Le 17 juin 1887 Dakar devient une commune distincte. Elle ne dépend plus de Gorée et Jean Alexandre devient son premier maire le 9 décembre 1887. De gros travaux d’aménagement et d’assainissement sont entrepris. La population de Dakar atteint 8 737 habitants, alors que Gorée n’en compte que 2 100.


Le lac Rose, de son vrai nom lac Retba, est l'un des sites les plus visités de la presqu’île du Cap-Vert au Sénégal. Ce lac salé doit sa renommée à la teinte originale et changeante de son eau, mais aussi au rallye Paris-Dakar dont il constitue l’ultime étape.



L'eau est particulièrement salée : 380 grammes par litre ! Le sel est exploité depuis les années 1970. Les hommes, dans l'eau jusqu'à la poitrine, cassent avec un piquet le sel déposé sur le fond avant de le ramasser à la pelle pour remplir des pirogues d'une capacité d'une tonne.






Les femmes sont chargées de débarquer les pirogues et d'entasser le sel sur les bords pour le sécher et le blanchir au soleil. Tous s'enduisent le corps de beurre de karité pour se protéger de la salinité corrosive. Le sel est destiné aux conserveries de poisson ou exporté.


Le navigateur portugais Dinis Dias atteint l'île de Gorée en 1444, qu'il baptise « Palma ». Les Hollandais s’emparent de Gorée en 1617 et la baptisent Goede Reede, « la bonne rade », étymon du nom actuel.


Les Français s'implantent sur l’île en 1677, mais les Anglais leur disputent cette position jusqu'à la paix d'Amiens en 1802. La traite des esclaves perdure pendant trois siècles sur les côtes africaines (Gambie, Saint-Louis du Sénégal, Bénin, Ghana...).


Les centres concentrationnaires des esclaves africains en partance pour l’Amérique se situent surtout àSaint-Louis, point de convergence de la traite négrière arabo-musulmane et européenne.


À Gorée, l'ancienne demeure d'Anna Colas Pépin (nièce d'Anne Pépin), connue dans le monde entier sous le nom de Maison des Esclaves, est un lieu plus symbolique qu’historique. En effet, le passage des esclaves par Gorée était très minoritaire : ils embarquaient directement et discrètement dans des fortins — « les Fabriques » — répartis sur toute la côte. Néanmoins le nom de Gorée reste étroitement attaché à cette période tragique


En 1891 la population de Gorée s'élève à 2 100 habitants alors que Dakar n'en compte que 8 737. Néanmoins en 1926 les Goréens ne sont plus que 700, alors que la population de Dakar atteint 33 679 personnes. C'est ainsi que la fusion de Gorée avec Dakar est décidée en 1929. La commune de Gorée disparaît et Gorée n'est plus désormais qu'une petite île sur la commune de Dakar. Le lieutenant Robert Gaffiot publie en 1933 un ouvrage dont le titre reflète bien ce déclassement : Gorée, capitale déchue.




carte de la Mission Geaom 2005 2006

photos : Marine Nationale 

MP Briantais SM Valverde

17 août 2009

SNA Améthyste Océan Indien 2009

SNA AMETHYSTE déploiement Océan Indien 2009


Plis du SNA Améthyste ayant transité par Paris Tri Interarmées (flamme toujours d'aussi mauvaise qualité)





  • Les sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire remplissent des missions essentielles dans le cadre des stratégies de prévention, de projection et de protection.
  • Ils sont aptes aux déploiements lointains et de longues durées, aux missions de renseignement et aux interventions contre des menaces navales. Ils jouent ainsi un rôle indispensable dans la protection du groupe aéronaval face à la menace sous-marine, comme l'ont mis en évidence les opérations Trident ou Héraclès.
  • Ils apportent également une contribution fondamentale à la dissuasion. En effet, ils participent de façon directe à la sûreté et à la protection des SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d'engins) dans leurs déploiements, ainsi qu'à leur mise en condition tactique lors des phases d'entraînement.
  • Les six sous marins d'attaque à propulsion nucléaire ont été modernisés. Actuellement au standard "Améthyste", leurs capacités militaires ont été sensiblement accrues dans les domaines de la détection sous-marine, des transmissions et de la discrétion acoustique
  • Les SNA sont conçus pour naviguer 220 jours par an. Afin d'obtenir une disponibilité opérationnelle suffisante avec un nombre de sous-marins réduit, les SNA sont armés par deux équipages. Leur activité suit des cycles au cours desquels s'alternent les périodes d'activité opérationnelle et d'entretien et, pour les équipages d'activités à la mer, d'entraînement à terre et de permissions




  • Port de soutien pour la Marine nationale


    L'IMFEAU constitue un nouveau point stratégique pour la France, et sa première base dans le golfe Persique. Elle traduit de longues années de coopération avec les EAU. Ainsi, les deux pays participent à l'exercice Gulf Shield, qui a rassemblé l'an dernier plus de 2000 hommes. En matière de formation, une centaine de militaires français est insérée en permanence au sein des forces armées émiriennes. Au niveau naval, les relations sont également très importantes. Chaque année, la Marine nationale effectue une cinquantaine d'escales dans les pays du Golfe, dont une trentaine aux Emirats. Ainsi, le port d'Abu Dhabi accueille depuis longtemps les bâtiments français, notamment le porte-avions Charles de Gaulle lorsque celui-ci est déployé en océan Indien. La Marine nationale utilise également Fujaïrah, notamment pour les sous-marins nucléaires d'attaque. Le SNA Améthyste s'y est arrêté pour la première fois en mars 2008. Ce port présente en effet l'avantage d'être très bien placé. Contrairement à Dubaï et Abu Dhabi, Fujaïrah est effet situé en dehors du golfe Persique, tout en restant à proximité immédiate du détroit d'Ormuz, seul accès à l'océan Indien. Il s'agit d'une zone éminemment stratégique, 40% du pétrole mondial transitant par Ormuz, fine bande de mer séparant les Emirats de l'Iran. Or, il suffirait de quelques mines pour fermer la station service mondiale. On notera, à ce propos, que l'IMFEAU devrait logiquement servir au soutien logistique de la force de guerre des mines française, qui est déployée tous les deux ans dans la région.
    Abu Dhabi n'a pas vocation à remplacer la base de Djibouti, où 3000 militaires français son pré-positionnés. Elle viendra en complément de cet autre point d'appui stratégique merveilleusement bien situé entre la mer Rouge et l'océan Indien, sans oublier les forces déployées à La Réunion et Mayotte.

    Opération ATALANTA Frégate Lafayette frégate Louise-Marie


    Au courrier aujourd'hui


    Le mandat de l'opération Atalanta

    "Fournir une protection aux navires affrétés par le PAM, y compris par la présence à bord des navires concernés d'éléments armés de l'opération, en particulier lorsqu'ils naviguent dans les eaux territoriales de la Somalie;

    Protéger les navires marchands naviguant dans les zones où elle est déployée;

    Surveiller les zones au large des côtes de la Somalie, y compris ses eaux territoriales, présentant des risques pour les activités maritimes, en particulier le trafic maritime;

    Prendre les mesures nécessaires, y compris l'usage de la force, pour dissuader, prévenir et intervenir afin de mettre fin aux actes de piraterie ou aux vols à main armée qui pourraient être commis dans les zones où elle est présente".














    Le Journal officiel du 24 juillet nous apprend que, par un décret du 16 juillet, signé par le ministre de la Défense Hervé Morin, et par le ministre du Budget Éric Woerth, les dispositions de l'article L. 4123-4 du Code de la défense s'appliquent désormais à tous les personnels concernés par l'opération Atalanta, qui se déroule sur les territoires de la république du Kenya, de la république de Somalie, de la république du Yémen, du sultanat d'Oman et de la république de Djibouti et leurs eaux avoisinantes ainsi que sur les eaux de la mer Rouge. Ce qui permet aux militaires déployés dans cette zone de bénéficier de conditions particulières en matière de pensions. La date du 8 décembre 2008, retenue rétroactivement pour la mise en oeuvre de ces mesures, est celle du déclenchement de l' opération Atalanta , mise en oeuvre par l'Union européenne.
    source : Le Point

    Elle sera à l’oeuvre en septembre. Pas de décision sur les soldats à bord de bateaux.



    La frégate "Louise-Marie" et son équipage de 169 hommes et femmes appareillent lundi pour l’océan Indien afin de participer durant trois mois et demi à l’opération européenne Atalanta de lutte contre la piraterie - une première pour la Marine -, dont la Belgique pourrait prendre le commandement l’an prochain.




    si nos amis belges peuvent nous faire parvenir des scans de plis de la frégate "Louise-Marie", merci à eux.

    Elle sera à l’oeuvre en septembre. Pas de décision sur les soldats à bord de bateaux.

    Le gouvernement belge n’a pas encore trouvé d’accord sur l’engagement de militaires à bord des navires battant pavillon belge pour assurer leur protection contre la piraterie au large des côtes somaliennes. C’est ce qui ressort d’une nouvelle réunion, mercredi, du conseil des ministres restreint. S’il semble y avoir accord sur le principe au sein de la coalition gouvernementale, les discussions achoppent sur les aspects juridiques et financiers en raison de la complexité des enjeux, selon l’agence Belga. Le projet sera au menu conseil des ministres hebdomadaire, ce jeudi. Le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, Karel De Gucht (Open VLD), a résumé les questions pendantes en se demandant quel prix il fallait demander aux armateurs et que faire dans le cas d’un navire belge, mais dont le capitaine serait d’une autre nationalité. La vice-première ministre Laurette Onkelinx (PS) a affirmé que la décision du gouvernement devrait contenir des "garanties strictes en ce qui concerne le financement et la sécurité". Elle a, tout comme sa collègue Joëlle Milquet (cdH), souligné qu’il ne s’agira que d’une "mission temporaire".

    Le ministre de la Défense, Pieter De Crem (CD&V), a, par ailleurs, annoncé que la frégate "Louise Marie" de la Marine belge quitterait Zeebrugge le 17 août prochain pour participer durant quatre mois et demi à l’opération "Atalanta" de l’Union européenne de lutte contre la piraterie au large des côtes somaliennes. La Belgique s’était engagée dès l’an dernier à participer à "Eunavfor Atalanta" de l’UE, lancée le 8 décembre 2008. Mais les dates précises de la mission n’étaient pas encore connues et son envoi doit encore être formellement confirmé par le conseil des ministres. Selon M. De Crem, le "Louise Marie" sera opérationnel le 1er septembre. Sa mission durera jusqu’au 16 décembre, avec un retour à Zeebrugge prévu le 23 de ce mois.

    La Belgique et les Pays-Bas ont signé le jeudi 22 décembre 2005 à Bruxelles le contrat d'achat de deux frégates polyvalentes de type M. Le contrat a été signé par le ministre de la Défense, André Flahaut, et le secrétaire d'Etat néerlandais à la Défense, Cees van der Knaap. Il s'agit des F827 Karel Doorman et F829 Willem van der Zaan, qui recevront de nouveaux noms, F930 Leopold I et F931 Louise-Marie lorsqu'elles rejoindront la Marine belge, en mars 2007 et en avril 2008. André Flahaut: "L'acquisition de ces deux frégates d'occasion va nous permettre d'élargir et de renforcer notre capacité d'escorte et ainsi de répondre à tous les rôles stratégiques, que ce soit dans un contexte OTAN ou européen. Ce sont des frégates multifonctionnelles pouvant exécuter des tâches très diverses comme la lutte contre le terrorisme, les tâches de maintien de l'ordre, l'exécution d'opérations de crise et d'évacuation vu qu'elles ont la capacité d'embarquer un hélicoptère." Sont inclus dans le contrat, un lot de pièces de rechange et de munitions, la documentation technique, l'entretien planifié de l'un des deux navires et la modification du pont d'envol ('deck') pour pouvoir embarquer des hélicoptères plus lourds que les 'Alouette III' vieillissantes de la Marine - comme les nouveaux NH90.


    16 août 2009

    Bon vent Etienne


    Un coucou à notre commissaire et écrivain de marine préféré


    photo JMB

    Le site internet du journal Ouest-France du 29 juin 2009



    Le commandant Etienne Devailly prend sa retraite - Cherbourg

    samedi 27 juin 2009

    Mercredi soir, la famille et les personnalités locales étaient réunies au Carré des officiers de l'école des Fourriers pour saluer le départ à la retraite du commissaire en chef de 1 re classe, le commandant Etienne Devailly. En charge depuis le 20 juillet 2006 de l'école qui assure la formation des militaires de la Marine, de l'armée de Terre et de l'armée de l'Air aux métiers de l'administration, de la gestion des ressources humaines et de la restauration, le commandant Devailly quittera ses fonctions en juillet.

    Des officiers de l'école ont salué la carrière du militaire « qui laissera un grand vide derrière lui, tant humain que professionnel. »


    Son successeur, le commissaire en chef Alain Monier, prendra ses fonctions le 9 juillet.








    Après la disparition petit à petit de nos cabines téléphoniques, faut-il s’inquiéter d’une même disparition de nos petites boîtes jaunes et ... du beau métier de facteur ?
    Envoyer un courrier papier sera-t-il demain aussi simple qu’un clic sur une souris ? En tout cas, ce site qui déchire de La Poste, permet d’envoyer toute l’année, 24h/24 et depuis n’importe quel ordinateur, un courrier recommandé !
    Après une rapide inscription, il suffit d’envoyer au site son document au bon format (sont acceptés les .txt, .rtf, .doc, .pdf, .xls, .ppt, .pps, .gif, .jpg, .tif et .bmp !).

    La Poste s’occupe ensuite de son côté d’imprimer votre document et de le mettre sous pli.

    Bonne nouvelle, cette Lettre Recommandée Electronique a la même valeur juridique qu’un recommandé classique !

    Vous pourrez choisir d’envoyer votre pli avec ou sans accusé de réception, votre document sera conservé 3 ans sur le site et les prix sont exactement les mêmes qu’au bureau de poste !
    De quoi éviter de longues files d’attente...


    C’est ici : www.laposte.fr/lre.



    PHM Commandant Blaison TANGER MED25 Maroc EUNAVFORMED IRINI

    TANGER MED25 PHM Cdt Blaison  Le 23 avril 2025, le patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Blaison a appareillé de Brest dans le cadre de...