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05 février 2009

Adieu au Clemenceau

Adieu au Clem Notre page de Publicité

A partir des journaux d'époque stopallons essayer stopprésenter second porte-avions construit en France après Béarn stopavec quelques photos stopavant voici quelques réclames des entreprises et fournisseurs du Clemstop et fin
Si vous avez documents et photos du CLEM pour le blog suis preneur 

Le navire « Clemenceau "



1960 apparaît comme une année particulièrement important dans les annales de la marine.
Cinquantenaire de la naissance de l’aéronautique-navale, elle aura vu par ailleurs s’effectuer les essais à la mer du porte-avions Clemenceau




Le Clemenceau mis en cale en décembre 1955 a été mis à flot en décembre 1957. A la fin novembre 1959 il quittait pour la première fois son quai d’armement pour entreprendre ses essais à la mer.
Le délai se compare aux délais de construction des porte-avions étrangers : un peu supérieur au délai de construction du Forrestal.




C’est l’état-major général qui définit le programme et le service technique des constructions et armes navales s’efforce de concilier les impératifs techniques, les possibilités de l’industrie et les prix de revient admissibles.
Il faut rêver la machine idéale qui fournirait des chevaux-vapeurs sans limitation, qui n’aurait ni poids ni volume, et de surplus, ne consommerait rien…



Pour le Clemenceau le programme était le suivant :
Dans le cadre d’un tonnage modéré – le Clemenceau à pleine charge déplace un peu plus de 31000 tonnes – réaliser le porte-avions « maximum » quant au nombre des avions embarqués et susceptible de mettre en œuvre des avions jusqu’au poids de 20 tonnes au décollage.



La vitesse était fixée à 32 nœuds au moins. L’appareil propulsif devrait avoir uen grande endurance et une consommation aussi réduite que possible pour assurer, compte-tenu d’un tonnage de combustible de l’ordre de 4000 tonnes, une autonomie de 8000 milles. L’effectif à embarquer en temps de guerre s’éleverait en temps de guerre à 2400 hommes.

Le porte-avions aura une piste d’appontage oblique, des catapultes à vapeur et le miroir d’appontage.








Le pont d’envol mesure 258 m de longueur et 47 m au fort. Le hangar mesure 180 m de long sur 22 à 24 m de largeur avec un clair de 7 m sous membrures.
Aucun porte-avions de moins de 45000 tonnes n’en offre autant.

Dans le cas du hangar, la clé de la solution est une disposition dissymétrique par rapport à l’axe du navire. A la dissymétrie par rapport visible des superstructures, le Clemenceau ajoute une dissymétrie cachée. Ce report vers babord du volume du hangar entraînaient de délicates études de charpente.
Grâce au pont d’envol et au hangar on peut loger à bord 50 à 60 avions et plusieurs hélicoptères

Le Clemenceau et le cinquantenaire de l’aéronautique-navale
Relecture du texte paru dans la Revue Maritime n° 170 octobre 1960
Par M Castera ingénieur en chef de 1ère classe du Génie maritime

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