24 janvier 2014

Jeanne d'Arc 1973 Vancouver campagne d'application

PH Jeanne d'Arc 
13 février 1973 Vancouver


Pavillon du Canada photo JM Bergougniou


J'ai eu l'occasion de séjourner deux fois à Vancouver. C'est une ville très agréable.


Ville de Vancouver photo JM Bergougniou


C'est une ville cosmopolite, ouverte sur le monde (principalement l'Asie) et sur le maintien de la tradition des peuples premiers.
Les parcs et musées sont nombreux et divers.

Escale à Vancouver le 13-2-1973 

Fondée en 1867 en tant que zone d'exploitation forestière, Vancouver devient officiellement une ville en 1886 et a été nommée ainsi en hommage au capitaine de marine britannique George Vancouver qui a exploré la région vers la fin du xviiie siècle. 

Georges Vancouver à Victoria BC  photo JM Bergougniou



En 1887, le chemin de fer transcontinental a été étendu jusqu'à la ville pour profiter de son grand port naturel, qui est rapidement devenu un maillon essentiel d'une route commerciale entre l'Est du Canada, l'Orient et Londres. 


Canadian Pacific photo JM Bergougniou


En 2009, Port Metro Vancouver est le port le plus grand et le plus achalandé du Canada, et le plus diversifié en Amérique du Nord. Même si l'exploitation forestière demeure sa plus grande industrie, Vancouver est réputée pour être un centre urbain entouré par la nature (montagnes et océan Pacifique), faisant du tourisme sa deuxième industrie. 

Musée ethnographique de Vancouver  photo JM Bergougniou


Les studios de production cinématographique de Vancouver et de Burnaby ont fait de la métropole l'un des plus grands centres cinématographiques en Amérique du Nord, ce qui lui a valu le surnom de Hollywood North.

La conserve était le Victor Schoelcher 




Arts premiers Musée ethnographique  photo JM Bergougniou

La Gendarmerie royale du Canada ou GRC (en anglais : Royal Canadian Mounted Police, abrégé en RCMP) est à la fois la police fédérale du Canada et la police provinciale de la plupart des provinces canadiennes. Les Canadiens français la désignent souvent par l'appellation générique de « police montée » et les Canadiens anglais par mounties ou red coats (« les manteaux rouges », en raison de leur uniforme rouge).



RCMP  / Gendarmerie royale  photo JM Bergougniou

La GRC est le seul corps policier au monde à posséder des mandats d'application de la loi aux niveaux international, national, provincial et municipal, et cela sans être le seul corps policier du pays. En Ontario et au Québec, elle est dite non-contractuelle et a le mandat d'appliquer uniquement les lois fédérales, car ces deux provinces disposent de leur propre corps de police provincial : la Police provinciale de l'Ontario et la Sûreté du Québec. Ailleurs, elle opère sous contrat pour faire respecter les lois provinciales en plus du mandat national.


le nouveau Cols Bleus est arrivé

le nouveau Cols Bleus est arrivé


Le 23 janvier 2014, Cols Bleus, le magazine de la Marine nationale, qui existe sous diverses formes depuis 1945, se transforme à nouveau et devient une galaxie de supports. L’objectif ? Permettre à tous, où qu’ils soient, de suivre et de réagir à l’actualité de la communauté Marine nationale.






Le magazine, nouvelle formule


Le numéro 3025 inaugure une nouvelle ère pour le magazine Cols Bleus. Il paraîtra désormais tous les mois. Sa pagination est augmentée de 32 à 48 pages et il est également légèrement plus grand, d’une taille similaire aux autres revues d’armées. Sa maquette a été totalement rénovée. Une place plus importante est donnée à l’image, souvent plus percutante. Il est également plus lisible : avec un rubriquage plus clair, plus d’encadrés… autant de repères pour faciliter la lecture.



De nouvelles rubriques ont vu le jour, comme « Immersion » où les lecteurs découvriront chaque mois un photoreportage les plongeant dans l’univers et les missions d’une unité. Au centre du magazine, une infographie proposant un décryptage d’un équipement, d’une installation ou d’un événement. Enfin, une rubrique dédiée à l’histoire maritime apparaît grâce à la contribution du Service Historique de la Défense. D’autres chroniques ont évolué : le dossier pédagogique « Passion Marine » est plus étoffé que dans l’ancienne formule, l’ « actualité » est désormais plus illustrée et la rubrique « loisirs » plus complète.

Le site colsbleus.fr, nouveau vecteur interactif


Le magazine Cols Bleus a désormais sa déclinaison en ligne, colsbleus. fr. Sa vocation : être la «permanence de la revue» et offrir aux lecteurs de suivre l’actualité de Cols Bleus au quotidien entre la parution de deux magazines. Il offre une navigation simple et intuitive dans des rubriques familières. Conçu comme un portail, il permet d’accéder à différents produits : portraits, vidéos, dossiers, reportages photos, position des bâtiments, historique des magazines…et à tous les autres sites ou réseaux sociaux de la Marine. Développé avec la technologie « responsive design », il est accessible gratuitement, depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone. L’interactivité est au coeur de colsbleus.fr : les internautes peuvent désormais réagir, commenter et noter les articles en ligne. Ils peuvent également « devenir reporter » et ainsi contribuer à colsbleus.fr en envoyant leurs articles, photos ou vidéos.












La Lettre Cols Bleus Hebdomadaire, un condensé de l'actualité de la semaine

Caque semaine, les internautes peuvent recevoir sous forme électronique la lettre de Cols Bleus. Elle propose un condensé de l’actualité des unités et résume les événements « Marine » à ne pas manquer la semaine suivante. Pour être sûr de la recevoir, il suffit de s’abonner sur colsbleus.fr.

Et dans les prochains mois… 





Au printemps, une application pour smartphone (Apple/Androïd) verra le jour, permettant aux lecteurs de suivre en mobilité l’actualité des marins.


http://www.colsbleus.fr/


23 janvier 2014

Rochefort le restaurant du Port

Rochefort Congrès national
Marcophilie navale
le restaurant du Port

Aux adhérents
vous venez de recevoir les bulletins d'inscription au Congrès de la Marcophilie navale, répondez rapidement pour permettre à l'équipe organisatrice une bonne planification.

L'équipe charentaise propose pour les repas du Congrès de la Marcophilie navale, des escales au Restaurant du Port… c'est une très bonne idée pour l'avoir testé.


Découvert à l'occasion des Philatéliques de Mer, le Restaurant du Port mérite le détour. 
Il est à deux pas des ports de plaisance et de commerce de Rochefort. Il s'appuie sur l'ancienne cantine de l'usine ROL TECH, ex-Bois déroulés, aujourd'hui abandonnée. Il abrite une originale collection d'outils bois retraçant le savoir-faire des artisans et ouvriers de la ROL.



Ils y ont mangé, ils en sont revenus!



Dans un cadre original et bon enfant.



Le resto du port est un lieu de convivialité exceptionnel, dans un cadre très sympathique (fleurs, jardin, verdure,...). Les repas sont copieux,variés, et toujours un choix important de mets....
Cet endroit respire le bonheur de vivre, la simplicité…

La pesée n'est pas obligatoire à la sortie…

Rochefort est au XIème siècle « Roccafortis », un château dominant la Charente entouré de quelques chaumières au cœur d’un marais. A la fin du XVIIème, Louis XIV décide la création d’un nouvel arsenal de guerre capable de construire rapidement une flotte pour rétablir sa puissance maritime et favoriser le commerce avec les colonies du royaume. Le site de Rochefort est alors choisi pour sa localisation stratégique : position centrale sur le ponant, protégé par les îles et relié à l’arrière pays par la Charente.


Colbert de Terron, neveu du ministre et gouverneur de la Province, confie le projet à Blondel, ingénieur du roi pour la Marine, et Clerville, commissaire général des fortifications. L’arsenal voit le jour dès 1666. La ville de Rochefort est réalisée selon un plan en damier. Ceinte de remparts à partir de 1689, elle prend son aspect définitif grâce à Michel Bégon (Intendant de la Marine 1688-1710), qui organise la reconstruction de la ville en pierre de taille …



Grâce à l’activité intense de l’arsenal, la population rochefortaise croît rapidement, faisant de Rochefort la ville la plus peuplée du département en 1860. Le faubourg se développe et l’arrivée du chemin de fer, puis la création de bassins à flot, génèrent un développement important du commerce. La difficulté d’approvisionnement en eau potable est une préoccupation majeure pour Rochefort.

L’arsenal montre ses limites : il ne peut accueillir les nouveaux cuirassés à cause du faible tirant d’eau et l’envasement constant de la Charente pose problème. L’activité de l’arsenal décroît après 1900 jusqu’à sa fermeture, effective en 1927. La ville reste cependant largement associée au domaine militaire. Dès 1916, un centre d'aérostation maritime est créé, suivi d’un centre-école d'aviation, et enfin d’une base aérienne.
https://www.facebook.com/pages/RESTAURANT-DU-PORT/123512214343401


TCD SIROCO Noël en Mer

TCD SIROCO Noël en Mer 


Si les voeux arrivent avec un peu de retard, le SIROCO s'est mis en évidence dans l'interception des premiers pirates de 2014 en zone Atalante avec je bateau japonais JS SAMIDARE.



Pour traduire vous pouvez utiliser le traducteur sur le côté gauche de la page

On Saturday 18 January 2014, the French EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia Operation Atalanta flagship FS Siroco in cooperation with Japanese assets released the crew of a Dhow that was suspected to have been used as pirate mother-ship. The flagship apprehended 5 suspected pirates believed to be responsible for an attack on an oil tanker in the Gulf of Aden a day earlier.

The oil tanker issued a distress call to the UK Maritime Trade Operation (UKMTO) on the evening of Friday, 17 January, reporting to be under attack. According to the reports, the attack was repelled by a private armed security team embarked on board the oil tanker. The skiff then headed to a dhow which lingered nearby.



The EU Naval Force, in cooperation with other Counter Piracy Forces, reacted quickly to this incident. A Japanese Maritime Patrol Aircraft and a helicopter from the Japanese vessel JS Samidare, in associated support to the Combined Maritime Forces (CMF/CTF 151), initially located the dhow. The EU NAVFOR flagship FS Siroco was then able to close distance to the dhow and launch their helicopter and boarding team.

Upon nearing the dhow, the helicopter crew and boarding team observed that people on board the dhow were throwing equipment over board, deepening the suspicion that the dhow was indeed the reported pirate mother-ship.





Once the Siroco’s team boarded the dhow, 5 Somali suspect pirates surrendered and were separated from the dhow’s crew and transferred to FS Siroco for further investigation. As always, the EU Naval Force seeks, if possible, a legal finish with the prosecution of the suspected pirates.

The master’s initial statement supported the suspicion that his dhow has been pirated and his crew taken hostage several days ago off the coast of Somalia. He also stated that the suspect pirates were responsible for the attack on the oil tanker the day before.




The EU NAVFOR Force Commander, Rear Admiral Hervé Bléjean, said: “Thanks to an exceptionally effective international cooperation, we showed once more that there will be no safe haven for piracy in the area as long as Counter Piracy Forces remain fully dedicated to their task. I also congratulate FS Siroco with this success.”

EU Naval Force deters, prevents and represses acts of piracy and armed robbery off the coast of Somalia. EU Naval Force ships protect World Food Programme vessels delivering aid to Somalia and AMISOM shipping. EU Naval Force ships also contribute to the monitoring of fishing activity off the Somali Coast.




The EU chairs in 2014 the Contact Group on Piracy off the Coast of Somalia (CGPCS). The EU is keen to mobilise international support to eradicate Somali piracy once and for all, not only by addressing the symptoms at sea but also by addressing the root causes of piracy ashore.



Napoléon est mort à Sainte-Hélène PH Jeanne d'Arc

Napoléon est mort à Sainte-Hélène PH Jeanne d'Arc  campagne d'Application 1967




Sainte-Hélène, en anglais Saint Helena, est une île volcanique de 122 km2, située au milieu de l'océan Atlantique sud, à 1 930 km des côtes africaines et à 3 500 km des côtes brésiliennes, par 15° 57' S, 5° 42' W, faisant partie de Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha, territoire d'outre-mer du Royaume-Uni.





Elle est découverte par le navigateur galicien João da Nova Castella le 21 mai 1502 et nommée en l'honneur d'Hélène, mère de Constantin Ier. 
Dès 1657, elle est possession de la Compagnie anglaise des Indes orientales.



Escale le 27/11/1967

Essentiellement connue comme lieu d'exil de Napoléon de 1815 à sa mort le 5 mai 1821, l'île lui doit son intérêt touristique qui repose sur l'attraît des lieux qu'il a fréquentés. En 1890, le chef zoulou Dinizulu y fut détenu, avant que les Britanniques y emprisonnent le général Piet Cronje et 6 000 Boers durant la Seconde Guerre des Boers.

Île forteresse sur le passage des navires de la Compagnie des Indes, elle perdit son rôle stratégique lors de l'ouverture du Canal de Suez.




À la suite de sa défaite à la bataille de Waterloo, Napoléon fut exilé et déporté par les Britanniques sur Sainte-Hélène, où il débarqua enoctobre 1815. L'arrivée de Napoléon entraîna une augmentation de la population de l'île : près de 2 000 soldats et 500 marins de la flottille de guerre, ainsi que des officiels du gouvernement britannique, accompagnés de leur famille, sans oublier la petite colonie française qui vivait dans l'entourage de Napoléon. De plus, les Britanniques, craignant un débarquement de marins français pour libérer le prisonnier, revendiquèrent l'île de l'Ascension — jusque-là inhabitée — et y établirent une garnison.



Escale le 27/11/1967

Napoléon meurt le 5 mai 1821. Le lendemain, le gouverneur de l'île, sir Hudson Lowe, jusqu'alors en perpétuel conflit avec son ancien prisonnier, vint en personne s’assurer de sa mort et déclara alors à son entourage : 

« Hé bien, Messieurs, c'était le plus grand ennemi de l'Angleterre et le mien aussi ; mais je lui pardonne tout. À la mort d'un si grand homme, on ne doit éprouver qu'une profonde douleur et de profonds regrets. »



Conformément à ses dernières volontés dans le cas où son corps ne devait pas être ramené en Europe, Napoléon fut inhumé le 9 mai près d'une source, dans la vallée du Géranium, dénommée depuis « vallée du Tombeau ». 




Le 27 mai, toute la colonie française quitte l'île. 

Dix-neuf ans après la mort de Napoléon, le roi Louis-Philippe peut obtenir du Royaume-Uni la restitution des cendres de l'ex-empereur. L'exhumation du corps de Napoléon a lieu le 15 octobre 1840, puis il est rapatrié en France et inhumé aux Invalides à Paris.

http://domainesdefranceasaintehelene.blogspot.fr/2011/05/1987-la-derniere-escale-de-la-jeanne.html


Pour sauver la maison de Napoléon à Sainte-Hélène

Les lieux napoléoniens de l’île sont devenus, depuis 1857, des domaines français, gérés le Ministère des Affaires Etrangères qui prend en charge l’entretien courant. Depuis plusieurs années maintenant, les visiteurs de passage – cinq à six mille personnes selon les années – peuvent découvrir l’existence de ce qui est devenu un véritable musée avec neuf cents articles exposés dont près de cent meubles originaux. Le but recherché est de rendre à la maison son aspect de 1821, année de la mort de Napoléon. Nous pensons avoir presque réussi car de nombreux visiteurs pensent que le musée est national. En fait, la conservation muséographique, les recherches, l’enrichissement des collections ne sont pas prise en charge par l’état français mais uniquement par vos dons gérés par la Fondation Napoléon à Paris - 7, rue Geoffroy Sainte-Hilaire 75005 Paris France. +33 156434600 (précisez bien dans le libellé de vos dons qu’ils sont « pour l’usage exclusif des domaines français de Sainte-Hélène »). Cette fondation reconnue d’utilité publique vous remettra le certificat fiscal nécessaire pour la déduction des impôts.
Chaque année, en fonction des fonds reçus, nous décidons ensemble des travaux que nous voulons entreprendre.
http://www.napoleon.org/fr/fondation/devenir_partenaire/SteHelene_formulaireA4.pdf

cartes et escale Netmarine

L'île de Pâques PH Jeanne d'Arc Campagne d'application 1968 1969

L'île de Pâques  PH Jeanne d'Arc 
Campagne d'application 1968 1969



Le PH Jeanne d'Arc a touché l'île de Pâques le 13-01-69


L'île de Pâques, en langue rapa nui Rapa Nui (« la grande Rapa »), en espagnol Isla de Pascua, est une île isolée dans le sud-est de l’océan Pacifique, particulièrement connue pour ses statues monumentales (les moaï) et son écriture océanienne unique, le Rongo-Rongo.


Photo Ian Sewell


L’ile se trouve à 3 680 km des côtes chiliennes et à 4 050 km de Tahiti, l’ile habitée la plus proche étant l'île Pitcairn à plus de 2 000 km à l’ouest. L’ile de forme triangulaire, d'environ 23 km dans sa plus grande dimension, couvre 166 km2. La population comptait 3 304 habitants en 2002. Son chef-lieu (et unique village) est Hanga Roa.

Elle fut visitée par le premier Européen, le navigateur néerlandais Jakob Roggeveen, le jour de Pâques, le 5 avril 1722, et comptait alors près de 4 000 habitants. Elle fut annexée par l’Espagne en 1770 sous le nom d'isla San Carlos, mais l'Espagne s'en désintéressa par la suite ; des Français s'y installèrent après 1864 et l'ile devint une possession chilienne en 1888.





Depuis 1995, le patrimoine exceptionnel de l’ile est protégé et inscrit au Patrimoine mondial par l'UNESCO. Des parcs ou réserves naturelles, parfois surveillés, enserrent les zones des vestiges. La communauté rapanui veille jalousement sur les traces de son histoire et constitue un pouvoir parallèle au gouvernement officiel chilien.




Cette ile, la plus à l'est de toute l’Océanie, est célèbre pour ses vestiges mégalithiques des premières civilisations autochtones. Le patrimoine archéologique comprend environ 900 statues de basalte, les moaï, de 4 m de hauteur moyenne et près de 300 terrasses empierrées au pied de ces statues, les ahû.


les photos qui vont bien Source  Alabordache
Les moaï, localement mo'ai, sont les statues monumentales de l’île de Pâques, en Polynésie, qui ne sont pas datées car on ne peut pas dater le taillage d'une roche. La majorité de ces monolithes est sculptée dans du tuf issu principalement de la carrière de Rano Raraku. Quelques-uns ont cependant été sculptés dans d'autres roches volcaniques de l'île (basalte, trachyte ou tuf volcanique). Leur taille varie de 2,5 à 9 mètres, pour un poids moyen de 14 tonnes, jusqu'à 80 tonnes pour les plus grosses. 


les photos qui vont bien Source  Alabordache


Toutes sont des monolithes tournés principalement vers l’intérieur de l’île à l'exception du Ahu Akivi dont les moaï regardent l'océan. Selon Jo Anne Van Tilburg, le nombre de moaï s'élève à près de 887, sur l'ensemble de l'île. Les moaï tels qu'ils devaient être dans leur état final, après édification, possédaient des yeux blancs fait de coraux et l’iris rouge en tuf volcanique ou noirobsidienne. Certains d'entre eux portent une sorte de coiffe, le pukao, fait de tuf rouge, issu de la carrière de Puna Pau, et pesant lui-même plusieurs tonnes.

http://www.alabordache.fr/marine/espacemarine/communiquer/debat/jeannedarc/photo.php

22 janvier 2014

Porte-hélicoptères Jeanne d'Arc Campagne d'application 1969 1970

Porte-hélicoptères Jeanne d'Arc
 Campagne d'application 1969 1970


Lors de cette campagne d'application qui à fait un tour du monde complet du 5 novembre 1969 au 24 mai 1970 des cachets illustrés ont été utilisés. L'auteur semble être resté anonyme...


 j'ai toujours aimé les cachets d'escales qui ont été réalisés lors de cette campagne.  Ils sont beaux et originaux même s'ils se présentent sous l'aspect d'une flamme illustrée dont ils reprennent la forme et la composition.

Ile Rodrigues

Escale le 29-12-1969  le cachet est orthographié RODRIGUEZ avec un Z et non un S

Rien ne nous empêche de parodier Tino Rossi pour décrire ce joyau des Mascareignes
« Ce n'est qu'une île au grand soleil,
Un îlot parmi tant d'autres pareils,
Où mes parents ont vu le jour,
Où mes enfants naîtront à leur tour…
Oh ! mon île au soleil,
Paradis entre mer et ciel,
Où les flots, tout le long du jour,Chantent au sable fin sa chanson d'amour… »

Rodrigues est la plus petite des trois îles de l’archipel des Mascareignes.

D'origine volcanique, l'île se situe à 560 km à l’est de Maurice, presque isolée au milieu de l’océan Indien. D’une superficie de 109 kilomètres carrés, elle mesure 18 kilomètres de long sur 8 de large et présente la particularité d’avoir un lagond’une surface deux fois supérieure à celle des terres émergées.

Elle fait partie de la République de Maurice et jouit d'un statut d'autonomie depuis le 12 octobre 2002.


Escale du 12 au 15 mai 1970
Le cachet évoque une escale du 8 au 15 mai


Ses habitants sont appelés les Rodriguais. Au nombre de 35 000 en 1996, leur langue principale est le créole rodriguais. Le français est utilisé par une assez grande proportion de la population. L’anglais, langue officielle de la république, est très peu utilisé, sauf dans les institutions scolaires comme langue d’enseignement. La majorité des habitants (95 %) est de foi chrétienne et d'ascendance à la fois africaine et française. Les principales industries de l’île sont la pêche, l'agriculture et le tourisme.

QUEBEC

Monument à Samuel Champlain Québec  
Photo JM Bergougniou
Samuel de Champlain représente la présence française au Québec à l'occasion de l'escale dans la Belle Province.  

Monument à Samuel Champlain Québec  
Photo JM Bergougniou
Samuel de Champlain serait né à Brouage, dans l'ancienne province de Saintonge en France (aujourd'hui Charente-Maritime), entre 1567 et 1580 et mort à Québec (Nouvelle-France, dites Canada) le 25 décembre 1635. En 2012, un acte de baptême identifié par le généalogiste Jean-Marie Germe indique que l'explorateur fut baptisé le 13 août 1574, à La Rochelle, dans l'ancienne province d'Aunis. Champlain est tout à la fois un navigateur, cartographe, soldat, explorateur, géographe, commandant et chroniqueur français.

Après une formation de navigateur en Saintonge (vers 1586-1594), il se fait soldat en Bretagne (1595-1598), puis explorateur des colonies espagnoles d'Amérique (1599-1601), du fleuve Saint-Laurent (1603) ainsi que de l'Acadie (1604-1607) et de la côte atlantique (entre l'actuel Nouveau-Brunswick et Cap Cod). Il est surtout connu pour avoir ensuite fondé la ville de Québec, le 3 juillet 1608. À cette fin, il bénéficie du soutien du roi Henri IV de France, de Pierre Dugua de Mons, de François Gravé, et du chef montagnais Anadabijou.

Québec Photo JM Bergougniou

N'appartenant pas à la noblesse, Champlain agit en tant que subalterne d'un noble désigné par le roi : à Québec, il est « lieutenant du vice-roi de la Nouvelle-France » resté en France, puis à partir de 1629 « commandant en la Nouvelle-France en l’absence » du cardinal de Richelieu. Administrateur local de la ville de Québec jusqu'à sa mort, il ne reçoit jamais le titre officiel de gouverneur de la Nouvelle-France, même s'il en exerce les fonctions. Son acharnement à vouloir implanter une colonie française en Amérique du Nord lui vaut, depuis le milieu du xixe siècle, le surnom de « Père de la Nouvelle-France ».
Basilique Cathédrale Notre-Dame Québec

 

Photo JM Bergougniou

En 1633, Samuel de Champlain faisait construire, sur une partie du site actuel de la Basilique-cathédrale Notre-Dame, une humble chapelle dédiée à la Vierge. Incendiée à trois reprises, elle renaît inlassablement de ses cendres. La cathédrale que l'on peut admirer aujourd'hui signe l'aboutissement de travaux échelonnés sur près de 350 ans. L'intérieur se caractérise par un nombre impressionnant d'œuvres d'art : baldaquin, dais du trône épiscopal, verrières, tableaux et sculptures ainsi qu'une lampe du sanctuaire, un don de Louis XIV à Monseigneur de Laval. Les gouverneurs de la Nouvelle-France comme la plupart des évêques de Québec reposent dans sa crypte.
Chateau Frontenac Photo JM Bergougniou
Perché sur le cap Diamant, le château Frontenac semble mettre le fleuve Saint-Laurent au défi tant sa présence, immense, marque le paysage. Construit en sept étapes à partir de 1892, le bâtiment renvoie à ces hôtels de style château érigés par les compagnies ferroviaires canadiennes à la fin du XIXe siècle. Si son charme est connu de par le monde, le raffinement de sa gastronomie vient, lui, asseoir cette renommée.



Les Filles du Roy photo JM Bergougniou
Les Filles du roi (ou «Filles du Roy», selon la graphie de l'époque) sont des jeunes femmes célibataires qui voulaient immigrer en Nouvelle-France au 17e siècle pour s'y marier, y fonder un foyer et établir une famille pour coloniser le territoire. Le Roi de France agissait comme un tuteur (leur père) en payant les frais de leur voyage ainsi qu'une dot lors de leur mariage. Cette dot était ordinairement de 50 livres. Elles étaient souvent orphelines et d'origine modeste.

PHM Commandant Blaison TANGER MED25 Maroc EUNAVFORMED IRINI

TANGER MED25 PHM Cdt Blaison  Le 23 avril 2025, le patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Blaison a appareillé de Brest dans le cadre de...