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07 novembre 2014

Humour dans le carré par Donec

Les demoiselles en pompon rouge


Bonjour à tous,

Aux premiers jours de la grande guerre les parisiens surnommaient ainsi les fusiliers marins, souvent très jeunes venus de Lorient, de Brest, de Toulon, de Cherbourg et de Rochefort pour assurer la défense de Paris.

Mais ces « demoiselles » sont d’excellents combattants, au coté des belges ils empêchent les troupes du Kaiser qui attaquent le 24 octobre, d’atteindre Dunkerque.





Au terme de trois semaines de combats acharnés par un froid glacial, ils repassent l’Yser laissant Dixmude en ruine.

Les marins ont perdus 50% de leurs effectifs.



La Marine souhaitant récupérer ses personnels, la brigade est dissoute en novembre 1915. Seul subsistera un bataillon qui ne manquera pas de se distinguer en 1917 au Moulin de Laffaux.

Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine

Donec



PS : en pièce jointe la gazette n° 316 de l’ARHAN qui évoque la suite de l’inoubliable visite au ministère de la Marine




J’AI ETE AU MINISTERE DE LA MARINE

Paru dans la Gazette de Lann-Bihoué

Repris dans Cols Bleus n°1310 de décembre 1973

photo © JM Bergougniou


Il est admis d’une façon générale que dans ce bâtiment à quatre étages, trois escaliers sont à votre disposition. Le premier ne dessert que trois étages, ce que vous ne découvrez d’ailleurs qu’en arrivant en haut. Le deuxième au fond de la cour en dessert cinq et le troisième à droite, sept ou huit. 

photo © JM Bergougniou


Quel que soit l’escalier, un conseil : ne lâchez jamais la rampe. Il vous suffira, une fois arrivé en haut, de changer de main et de la suivre pour vous retrouver dans la cour. C’est l’éventualité la plus favorable.

Mais si pour une raison quelconque, esprit d’aventure, défi à la société ou désir furieux et aveugle d’aller quelque part, vous vous engagez dans le couloir, vous le faites alors sous votre propre responsabilité.















Je lisais récemment dans quelque magazine que près de six mille personnes disparaissaient en France chaque année. Si on se donnait la peine de fouiller un peu le Ministère…. D’ailleurs je me suis posté un jour à la porte pour compter les gens qui y entraient le matin et en sortaient le soir. Eh bien je vous le dis crûment : « il en manquait ».

photo © JM Bergougniou


Mais je vous vois venir, vous allez me dire : « il y a tout de même des ascenseurs ». Eh bien parlons-en.

La manoeuvre d’un ascenseur est devenue en notre siècle de progrès et d’émancipation d’une simplicité déconcertante au point qu’elle est à la portée du vulgaire et que même les femmes la pratiquent aisément. Un mode d’emploi puéril est d’ailleurs affiché dans ces ustensiles. C’est sans doute pour cette raison qu’ils sont interdits aux enfants.

Il semble cependant que les appareils du Ministère, avec leurs bonnes cabines honnêtes d’ascenseurs bourgeois soient d’essence particulière. Mais voyons la chose en détail.
photo © JM Bergougniou


Premier cas (le plus fréquent) : Vous êtes au rez-de-chaussée, vous arrivez, la cabine n’est pas là. Vous appuyez alors sur le bouton « Appel ». Généralement il ne se passe rien et on n’en parle plus. Parfois le contrepoids que vous avez devant vous monte, s’arrête puis redescend. Vous appuyez derechef et au bout de quelques minutes, vous décelez l’approche de la cabine qui s’arrête au premier puis repart vers les étages supérieurs.

D’accord, des gens m’ont dit qu’on avait vu l’ascenseur quelques fois au rez-de-chaussée, sans d’ailleurs qu’on puisse donner une explication satisfaisante à ce phénomène. Certains auteurs invoquent dans ce cas le développement d’une sorte de mémoire électronique qui se serait constituée dans un circuit banal modifié par des dépôts séculaires de poussière et de déchets divers. On peut penser que l’ascenseur répond de temps à autre à l’appel posthume d’un rombière qui est mort depuis la bataille d’Aboukir ou qui est maintenant Président de l’Amicale des Anciens Marins de Plouguenast. 

photo © JM Bergougniou
photo © JM Bergougniou


Tout ceci nous amène au deuxième cas : l’ascenseur est là. Vous vous y précipitez et vous vous y barricadez. Avant que vous ayez eu le temps d’esquisser le moindre geste en direction du bouton ad hoc (le cinquième par exemple) la cabine s’élève brusquement et s’arrête au premier où plusieurs types s’y engouffrent et descendent au rez-de-chaussée.

Arrivé là, il paraîtrait hautement anormal et quelque peu suspect que vous restiez dedans. Le rombier qui ne quitte pas un ascenseur au terminus est un rombier qui s’amuse et au Ministère on ne s’amuse pas. Vous sortez donc et vous allez faire un tour dans la cour avant de revenir tenter votre chance.



Après avoir observé discrètement les indigènes, il semble que la meilleure technique consiste à appuyer d’emblée sur tous les boutons qui sont à portée de la main. Le reste de la manoeuvre consiste en un jeu subtil de portes à glissières et de coups de pieds dans les tibias des intrus. 

photo © JM Bergougniou


Je me souviens qu’un matin j’ai vu l’ascenseur démarrer devant moi chargé de gens à l’air important. J’appuyais incontinent et de façon permanente sur le bouton : « Appel ». Le chargement a poursuivi sa marche jusqu’au cinquième et, avant que ces braves gens aient pu lever le petit doigt, il est redescendu au rez-de-chaussée, d’où il est reparti avant que j’ai pu ouvrir la porte, les passagers ayant le doigt 
sur le bouton « 5 » depuis le second. Au quatrième passage on se disait bonjour, au milieu de la matinée on se tutoyait et à midi nous sommes tous allés déjeuner.

photo © JM Bergougniou
Mais revenons aux choses sérieuses et passons aux travaux pratiques. Vous arrivez au Ministère et vous désirez aller à Péhaimedeuzeux ou à Euhaimegéorgue (Bora-Bora et Raiatea à côté de ça je trouve que ça fait un peu banlieue). Il est vrai que ça s’écrit PM 2/E ou EMG/ORG ce qui est moins évocateur mais ceux qui n’ont pas d’imagination n’ont rien à faire ici.

Bref (si j’ose m’exprimer de la sorte) on vous a dit : « c’est pas difficile (suspect ça) vous descendez au quatrième (pour pouvoir y descendre faut d’abord y monter), pour ce faire vous prenez l’ascenseur (façon de parler car il doit être « à charge »), celui qui est au fond de la cour ».





Vous voulez donc aller au quatrième. Vous entrez dans l’ascenseur, vous appuyez sur le bouton marqué « 3 » et vous descendez au cinquième. Deux couloirs se présentent à vous, vous prenez le troisième. Vous montez l’escalier qui s’y trouve et vous êtes au quatrième. 


photo © JM Bergougniou
Alors là il y a des couloirs et encore des couloirs, des recoins, des culs-de-sac, des étranglements, des défilés, des culs-de-basse-fosse, des coursives, des passavants, des cheminées, des surplombs, des corniches, des escaliers, des virages, des pentes dans l’un ou l’autre sens. 


photo © JM Bergougniou


Ça se termine parfois de façon borgne sur une porte que vous ouvrez, c’est un placard à balais, vous faites demi-tour, vous croisez un type qui ne vous regarde pas, vous vous retournez, il a disparu, etc., etc. 

photo © JM Bergougniou


Il y a quelque chose de bougrement plus inquiétant. Dans certains couloirs, il existe des petites cages de verre qui contiennent un rombier, parfois deux. Ils ne font rien. Ils ne bougent même pas quand vous frappez au carreau. L’écriteau : « Renseignements » apposé sur le cagibi n’est là que pour masquer l’horrible vérité. Ce sont des gars qu’on a découvert desséchés au petit matin dans un couloir peu fréquenté.

Mais je sens que vous n’allez plus me croire (ce en quoi vous auriez tort). Nous allons donc terminer sur une question plus terre-à-terre.






Dans la vie civile, quand un « water » est bouché, on appelle le plombier, dans la Marine nationale, on appelle le médecin major en vertu d’obscures considérations d’hygiène dont il est réputé détenir la connaissance ; 

photo © JM Bergougniou


Il y a d’abord le « water » de veille. Situé au troisième étage, son vasistas donne sur la rue Royale, et par-delà, sur les vestiaires des mannequins d’une grande maison de couturier. Il a deux particularités : un siège branlant d’avoir supporté les veilleurs de quart pendant les longues heures et une paire de jumelles accrochées à un clou. Je n’ai d’ailleurs réussi à y pénétrer pour vous le décrire que pour un court moment d’absence de l’officier de quart. 


photo © JM Bergougniou


Il y a aussi le « water » évasion. Il est au rez-de-chaussée, au bout d’un couloir tapissé d’affiches en couleurs vous invitant à des voyages fabuleux ou à la contemplation d’horizons nouveaux. Le papier hygiénique étant un produit inconnu ici, on s’y asperge le fondement avec les pages d’un indicateur de lignes aériennes obligeamment fourni par le Bureau des Passages qui jouxte ce lieu. Vous pouvez ainsi dans la solitude et le recueillement, suivre des itinéraires de rêve sous des cieux toujours bleus.

Un troisième exemple enfin : si vous montez au deuxième, vous trouverez une porte avec cette inscription : « Cabinet » et au-dessous : « S’adresser à l’huissier ». Celui-là, ça doit être pour les manchots.



photos Hôtel de la Marine © JM Bergougniou

21 avril 2014

Humour dans le Carré par Donec


T for Trouble


Bonjour à tous,

Les anglais sont des gens pratiques et pendant la guerre le peuple tout entier était engagé dans la lutte. A commencer bien sur par les femmes, les W.A.A.F. qui aidaient les chevaliers du ciel à en finir avec les huns.




J. Norton était donc W.A.A.F. sur la base de Hibaldstowe où elle occupait l’emploi d’aide mécanicienne. Par mauvais temps le contrôle exigeait que chaque Spitfire se rendant du parking de la piste soit pris en charge par un mécanicien. Celui-ci s’asseyait sur sa queue pour que le vent ne puisse le retourner pendant le roulage.

« T.for trouble » était un Spit du genre vicieux, malcommode et rouspéteur. Sa seule qualité : ramener son pilote vivant.





Donc ce vendredi il fait mauvais, notre W.A.A.F. s’installe sur la queue de la machine. L’avion se dirige vers le parking mais au lieu d’aller se stationner le pilote prend son vol avec sa passagère sur l’empennage arrière qui se tient comme elle peut les ongles enfoncés dans le gouvernail de profondeur.

Le pilote fait un tour de circuit mais ayant du mal à maitriser sa machine et connaissant la nature fantasque de « T for trouble » se pose.

Il sauve ainsi sa jolie passagère qui saute à terre.

Epilogue un peu triste J. Norton ne parvint pas à se faire reconnaitre comme personnel navigant de la R.A.F.

Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine



Donec

11 avril 2014

Humour dans le carré par Donec

L'Elixir
Boujour à tous,

Quelques uns parmi mes correspondants ont eu l’occasion d’expérimenter, à leur grande satisfaction, le remède que je proposais la semaine passée. D’aucun m’interrogent sur l’origine de cet élixir. 





C’est « tanta FINA », Berlugane* femme de caractère, haute en couleurs qui imagina cette potion magique dans les années vingt. Elle me fut transmise par son neveu, un très cher ami qui avait eu l’étonnante idée d’aller faire ses humanités, vers 1944 en Ecosse à fort William. Il était réveillé chaque matin par un tonitruant : « Early tea for airbornes !». 




Dans ce lieu peuplé de fantômes on lui apprit mille choses indispensables à la vie d’un honnête homme : conduire des locomotives, les faire dérailler, sauter en parachute, malaxer le plastique, s’avancer à pas de loup pour occire une sentinelle. Ainsi armé Il put ainsi mener l’aimable existence d’un photographe villageois entre les photos de classe et celle des radars portés par les unités de la flotte soviétique alors au mieux de sa forme.

Bref je lui dois la recette de cet élixir, assez miraculeux, convenons en !

Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine

Donec



*Berlugane : habitante de Beaulieu sur Mer

21 mars 2014

Humour dans le carré par DONEC

Humour dans le carré par DONEC

Domaine du Porte-avions

Bonjour à tous,

Les édiles de Nantes ont décidé de construire un aéroport sur de bonnes terres à blé, peuplées de batraciens, de limaçons, de coccinelles, de quelques moineaux et d’alligators. Les sans-culottes de la France entière ne pouvaient accepter un tel désastre écologique. Les voilà qui se pressent vers ce coin désert pour sauver les petits animaux de la lande.




La Bretagne dispose déjà avec Lann Bihoué, Nantes, Guipavas, Landivisiau, Rennes et bien d’autres qui font un maillage aéroportuaire à rendre jaloux le monde entier. Mais Nantes, enrichie par un lucratif commerce triangulaire veut disposer à l’instar de Londres, Pékin ou New York de son aéroport international.

Je me pose une question, pourquoi Port-Cros, Saint-Honorat, Les Embiez, l’île d’or, Porquerolles ne disposent d’aucun aéroport alors que des milliers de visiteurs s’y pressent quand la quinzaine de touristes qui visitent Nantes chaque année se verraient gratifiés d’une telle construction.

Néanmoins les sans-culottes ont bloqué le projet et le bel argent s’accumule, inutile, dans les coffres des banques. Une idée m’est alors venue. Pourquoi ne pas utiliser cette manne pour construire le second porte-avions dont rêve la Flotte et qui projettera l’image avantageuse de notre pays sur la planète entière. Sans compter toutes les jeunes beautés aux mains des barbaresques que nous pourrions délivrer.





Naturellement une contre partie serait offerte aux Nantais nous baptiserions le porte avions « Jules Verne ».

Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine.



Donec


06 décembre 2013

01 novembre 2013

Humour dans le carré par Donec Sacré Corneille

Humour dans le carré par Donec Sacré Corneille

Bonjour à tous,
Parmi toutes les missions qui m’incombent, le bonheur de mes contemporains requiert toutes mes attentions. Rien n’est plus contraire à mon éthique que de voir la multitude pester contre la dureté des temps alors que les filles n’ont jamais été aussi jolies et le rosé aussi frais.
Horace acte V scène 2

Ainsi, cette semaine je m’attacherai à élever le niveau culturel de tous en montrant que la principale qualité du répertoire classique est d’être hilarante.

Corneille, Cinna, acte I, scène 3


Le ciel vous tienne en joie et à  la semaine prochaine.

Donec

11 octobre 2013

Donec in ipsum humidum quadratum ex

Donec est magis latiniste


Bonjour à tous,

Chacun sait aujourd’hui que Donec, éminente personnalité des paresseux-poivrots (papo) n’hésite jamais à laisser la parole à ceux qu’un égo tonitruant incite à la domination intellectuelle.

Donec ut quisque novit hodie, ebriis eminentior-inertes personalitatem (Papo) confirmat, intellectuales intonat nec haeret deferre ea quæ ego dominatus.


Aujourd’hui donc c’est  Henri ROORDA, sorte d’Alexandre VIALATTE suisse qui s’y colle : « C’est incontestable : dans notre triste société, celui qui n’a pas d’argent mène une existence inquiète, insipide et décolorée (à moins, bien entendu, qu’il n’ait une âme magnifique). Eh bien, est ce que les individus de valeur sont sûrs, aujourd’hui, de gagner bientôt de l’argent ? Hélas ! non. La vraie intelligence ne procure pas d’argent : voilà le scandale qui n’a que trop duré. 

Sic hodie est ROORDA Henricus, ita Helvetiis VIALATTE Alexander gets qui adhæsit: "Indubium est in nostra societate tristis, qui nummos non habet existentiam ducit sollicitudines, insipidum et exanguis (nisi enim, animus habet pulchram). Bene, est quia tutus est nunc valorem populus, cito ad mereretur pecuniam? Heu! Non. Verum ingenio nullam pecuniam hic diutius duravit hoc scandalum.



Des spécialistes qui, toute leur vie, ont vendu des faux cols sont devenus millionnaires. Des maniaques qui n’ont jamais fait autre chose que de vendre du pétrole sont devenus milliardaires. Mais contemplez ce penseur dans sa mansarde : en dépit de son intelligence profonde, large, longue et aristotélicienne, il n’est pas sûr de devenir centenaire. Je veux absolument faire quelque chose pour aider ce malheureux ».

Le ciel vous tienne en joie et à  la semaine prochaine.
Tortores qui totam vitam vendidit torquibus facti millionaires. Furioso, qui numquam aliud fecit vendere oleum factus billionaires. Sed excogitatoris contemplari in hac Atticarum: non obstante profunda intellectus lata, longa, Aristotelis, non est certa centum. Miserum auxilium est vere volo. "Sum vobis gaudium caelo proxima septimana.

Donec

04 octobre 2013

Humour dans le carré par Donec


Retour au Pays




Bonjour à Tous
Si choisir son affectation est essentiel, le retour au pays est un moment de grand bonheur. 






Point n’est besoin de relire Proust et son arrivée à Balbec pour s’en persuader.





Le ciel vous tienne en joie et à  la semaine prochaine.

Donec

27 septembre 2013

humour dans le carré par Donec

Et si nous faisions du mauvais esprit





Bonjour à tous,
Aujourd’hui  l’anglais de cuisine remplace le Français comme langue diplomatique. A l’époque de Saint Augustin c’était le latin qui tenait ce rôle. Il en reste quelques aimables proverbes.





Le ciel vous tienne en joie et à  la semaine prochaine.
Donec

13 septembre 2013

humour dans le carré par Donec


règlement de compte sur le 
« Soudard délabré »





Bonjour à tous,
A l’heureuse époque du service militaire tous les affranchis ne se retrouvait pas aux « bat’ d’af », certains cédaient à l’appel de la mer. Inutile de dire qu’ils ne manquaient jamais d’introduire leur culture à bord…


Le ciel vous tienne en joie et à  la semaine prochaine.



DONEC

12 juillet 2013

Humour dans le carré par Donec

Vive le 14 Juillet


Bonjour à tous,
Dimanche 78,5 % des effectifs de l’armée française seront présents sur les Champs Elysées, raison supplémentaire pour ne pas manquer le défilé.
Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine
Donec









05 juillet 2013

Humour dans le carré par Donec

Humour dans le carré par Donec 
Ils ont réponse à tout


Bonjour à tous,

Je suis toujours estomaqué par la capacité de nos matelots et quartiers maîtres à résoudre des problèmes et répondre aux questions techniques.

Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine

Donec


21 juin 2013

Humour dans le carré par Donec

Ras le bol des Rosbiffs



Bonjour à tous,
Pendant des siècles nous avons eu un ennemi héréditaire qui parlait anglais. Aujourd’hui n’ayant plus les moyens de telles folies nous avons pris l’habitude de commémorer nos défaites. 



Il est bien entendu que nous n’attendons qu’une occasion pour leur voler dans les plumes.


Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine
DONEC

17 juin 2013

humour dans le carré par Donec


honorons nos anciens




Bonjour à tous,

Le respect des anciens et la fidélité à leur mémoire caractérise les marins de l’état. Pour exemple ce cambusard qui fait le bonheur des nôtres trop tôt partis.



Pour le reste les stages de commandos ne sont pas à la portée de tous.



Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine

DONEC

avec mes excuses à Donec pour le retard de la publication... Armada oblige!

03 mai 2013

Humour dans le carré par Donec

Faire Naufrage par Donec




Bonjour à tous,

Parmi les aléas de la vie marine le naufrage est une éventualité qu’il ne faut pas négliger. Voici deux exemples où nos jeunes héros font face avec leur habituelle bonne humeur.




Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine

Donec 

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